samedi 19 juillet 2008

Entrecôte

Je me demande ce que vont chercher les gens au resto à part des portions de régime et des rouquilles à prix d'or.

Donc, soirée champêtre digne des plus grands restos, avec la quantité en plus pour un tarif minime bien évidemment. Et de la vrai musique avec des instruments et des bonshommes qui chantent s'youplaît ! Bon, je passe sur le registre, un peu "vieillot" dans son ensemble à mon goût.

Vous voulez connaître le menu hein ? Kir à volonté en apéro (à volonté, hic!) ; tourrain à la tomate (y'a vraiment qu'ici qu'ils savent le faire) ; melon au porto (attention, melon, pas mini-melon décoratif) ; salade de gésiers confits ; trou normand (glace vanille et liqueur de châtaigne) ; haricots couenne ; entrecôte grillée au feu de bois (pas une "flunch" qui se cache sous la salade ou les frites, une de celles qui dépassent largement des deux côtés de l'assiette ! ) ; pâtisseries variées, café, pousse (une de ces gnôles qui font pleurer). Sans oublier le pinard, un bon rouge, du Bergerac je pense, et un cidre traditionnel au dessert, tout ça pour moins de cent balles, ça vous la coupe hein !

Je pressens que nos abruties d'autorités vont pas tarder à fourrer leur sales pattes crochues là-dedans, c'est trop bien pour que ça dure. Favoriser l'imbécillité heureuse au détriment du bonheur simple fait d'eux des maîtres.

vendredi 18 juillet 2008

Changement de registre

Y'avait longtemps que je ne m'étais pas adonné à une de mes distractions favorites ; éclairer un spectacle.

Techniquement simple donc permettant d'en profiter, une enfilade de sketchs néanmoins bien construits tournant autour du petit monde du rugby. Une heure trente de franche rigolade à entendre racontées des vies normales remplies d'excès.

jeudi 17 juillet 2008

Biathlon (2)

À mesure que j'aménage mes espaces verts, les surfaces accessibles aux machines augmentent, et la marche à pied aussi !

Je vais devoir sérieusement songer à changer de matos. Et pendant que certains posent leur cul sur un siège pour tondre les pelouses, moi je galope derrière ma tondeuse. Surtout que cette dernière commence à sérieusement montrer des signes de faiblesse, c'est un peu normal, elle est prévue pour une surface d'environs mille m² et je lui en fait sillonner plus de trois-mille à chaque tonte.

En même temps, je ne vous montre ni mes mollets ni mon bronzage, vous seriez jaloux. lol

mercredi 16 juillet 2008

Biathlon (1)

Allez, un peu de tondeuse, et de rotofil aussi.

Ce coup-ci je ramasse l'herbe, j'en ai facilement pour deux jours voir plus...

mardi 15 juillet 2008

Panne sèche

Séché Ubuntu. Incompatibilité d'humeur entre chipset intel et Linux à la mise en veille en plein moulinage.

Depuis c'est réparé. Heureusement que c'était Linux, il te dit ce qui manque et où, ce genre de plantage sous windows amène inévitablement à la réinstallation du système ou au lancement d'un débogueur douteux qui laisse plein de zags partout. mrgreen

lundi 14 juillet 2008

C'est au pied du mur que l'on voit le maçon

Nombre de visions se bousculent quand au moyen de maintenir le système de retraites par répartition ; pour parler, ça parle.

L'"allongement" du temps de travail est la ligne vigoureusement prônée par les courants actuels. Les opposants, de leur côté, affirment que cette méthode n'amènera pas à l'effet escompté et signera même la fin imminente de notre exception Française.

Ben alors, qui croire ? Serait-ce la question?

À l'heure où les prestidigitateurs de l'économie sortent les quatre/huit de leur haut de forme, faudra d'abord nous dire comment ils font entrer trente-deux heures dans vingt-quatre sans mettre les salariés en pièces, les volontés économiques manquent de clarté.

Mais alors, que font-ils du développement durable ? Il a quand-même été conçu pour que l'on évolue proprement et dignement tout en alimentant raisonnablement les marchés financiers. Le résultat d'une grande idée tourne parfois à la bouffonnerie. D'un coup, tout le monde pleure. Les salaires moyens sont prêts à se damner pour une goutte d'élixir afin d'alimenter leur trottinette, les pauvres restent chez eux à faire les fonds de tiroir pour boucler les fins de mois, les entreprises prennent leurs salariés pour des pushing-balls, on colle du durable partout comme argument de vente et l'économie continue sa douloureuse dégringolade ; bonjour la recette du bonheur !

Il est clair que nous ne sommes pas dans les bonnes discussions, tirer la couverture à soi n'a plus de raison d'être dans un monde de profusion. Comme le disait si bien la pub, ce sont ceux qui en parlent le plus qui en mangent le moins. À palabrer sur le comment découper les gens en quinze, on en oublie que la vie passe et le temps trépasse. Accepter la réforme des retraites proposée ne changera pas grand-chose au cours de la vie et trier les gens par indice de pénibilité de leur emploi n'aura pas plus de chance de sortir le pays de la tourmente. L'humain est ainsi fait qu'il lui faut de grands chocs pour stimuler sa conscience.

Je ne sais pas si la question est la bonne mais je sais que chacun perd énormément de temps. Une minute est une minute, une heure est une heure, une vie est une vie, sauf que personne ne peut affirmer combien cette dernière va durer. Sauf peut-être le mec attaché sur la table d'exécution prêt à recevoir le cocktail létal au fin-fond du Texas; et encore, le lui a-t-on seulement signalé ?

dimanche 13 juillet 2008

Décrochage

J'ai un peu décroché de l'actu. Cela fait drôlement du bien. razz