samedi 24 mai 2008

Quand l'eau rage

Pour une fois où je m'endormais assez tôt, le feu du ciel m'a réveillé. En effet, quand je dors, rien ne me réveille, sauf les grondements de l'orage. C'est un réflexe un peu comme les mamans qui même profondément endormies se réveillent aux cris d'un nourrisson. Dans mon cas cela conditionne une manoeuvre de sauvegarde des appareils életroniques consistant à débrancher méthodiquement tout ce qui est relié au secteur ainsi que les antennes et ligne téléphonique. Le comble fut qu'il n'y eut que quelques grondements sourds s'éloignant ne justifiant pas d'intervention.

Mais en attendant, je suis réveillé, et après trois heures de sommeil, je ne vais pas me rendormir de si tôt. evil

vendredi 23 mai 2008

Sainte-moi

Putain que jai mal au crâne.

jeudi 22 mai 2008

Rien

Il ne m'arrive rien en ce moment, ni de bon ni de mauvais, je fais ce que j'ai à faire en temps utile et c'est tout. Ce train-train satisferait la majorité des troupeaux lobotomisés mais pas moi, va falloir trouver un stimulant... confused

mercredi 21 mai 2008

C'est pas moi c'est lui

Allons-donc !

Et voilà, si tout va mal en France, c'est maintenant la faute aux vilaines directives européennes.

Il s'en fichait bien JPR, de l'Europe, quand il disait que ce n'était pas elle qui dirigeait la France alors qu'on payait je ne sais combien de millions d'amende pour je ne sais plus quelles infractions au code européen, les cochons bretons je crois.

Quand on va y être, on la veut envers et contre tout sans même avoir osé consulter les premiers concernés.

Z'ont intérêt à faire gaffe les députés européens sous la présidence de la France. M'enfin bon, ce que j'en dis...

Ah si, exécrable !

lundi 19 mai 2008

À la pêch' aux moulemoulemoules

La pêche en mer consomme énormément de fuel. Je me demande comment font les autres gros consommateurs de gas-oil ou fuel domestique. Les tracteurs de transport routier avec leurs réservoirs de 4000 litres, les tracteurs agricoles qui engloutissent entre 200 et 400 litres par journée de travail, ils peuvent continuer à tourner eux ?

Je n'aime pas ces problèmes récurrents sur lesquels on met un emplâtre fiscal en attendant la prochaine crise, tout en sachant que sa tenue sera de courte durée. Je pense nos dirigeants fautifs mais pas seulement. Les acteurs de l'économie dépendants des carburants fossiles devraient se poser un peu plus de questions plutôt que de secouer le cocotier et d'accepter indéfiniment des aides pour pouvoir continuer leur activité sans rien imaginer. Notre société a un petit faible pour les "soins" palliatifs ; chacun sait comment cela se termine...

Sans trop connaître la situation de la pêche indépendante française mais connaissant un peu les volontés politico-économiques mondiales d'avenir, je ne crois pas qu'il y ait une réelle volonté, ou vue, de développement pour ce modèle d'organisation.

Bref, défendre la pêche française ne doit pas se résumer à demander du carburant détaxé, des réductions fiscales, des primes ou je ne sais trop quel bidouillage. Si l'on veut demain une pêche traditionnelle autre que pour distraire les touristes, il faudra faire barrage aux puissants courants de l'économie et proposer des alternatives.

Sans volonté populaire, des bateaux "usine" venus d'on ne sait où et appartenant à on ne sait qui fondront sur les eaux françaises. Si peu que Total, ou autre indétrônable pétroleux, ait envie de négocier sa reconversion tout en continuant à faire des bénéfices, rien ne l'empêchera de s'offrir une flotte de chalutiers usines qui serviront à dilapider les dernières gouttes de pétrole à moindre coût pour équiper dans la foulée ces géants flottants de réacteurs nucléaires.

Pour avoir un poids réel, nos pêcheurs auraient dû anticiper, maintenant c'est trop tard, en optant pour d'autres motorisations en adéquation avec l'idée environnementale. Mais leur a-t-on seulement laissé la moindre chance, les moyens, de pouvoir accéder à autre chose ces 20 dernières années ? Je ne pense pas.

Je ne dis pas non-plus que la version industrielle de la pêche soit pire, autant pour la sauvegarde de nos eaux que pour le confort de travail des marins ou les poissons, que les pratiques actuelles. J'en sais foutre rien mais une chose dont je sois sûr, c'est que des gens souffrent pendant des années, en plus d'avoir un métier pour le moins difficile, de ces mutations qui ont pour seule cause les oeillères d'un modèle d'essor économique unique.

Ce n'est pas de l'info mais de la science-fiction. Quoi-que, nous sommes dans un monde prévisible où rien n'est impossible.

N'en jetez plus

Mais qu'est-ce qu'ils on tous cette année à vouloir que je plante des tomates ?

C'est bon, il y a trois jours j'en ai repiqué 8 et aujourd'hui 22. On m'en a encore proposé ce matin ; j'ai dû gentiment décliner.

Il est vrai que je n'ai pas pris connaissance du programme des concerts pour cet été... mrgreen

dimanche 18 mai 2008

Joli moi de Mai