samedi 3 mai 2008

C'est bon

Y'a pas à dire, le printemps c'est trop beau, trop bon. razz

vendredi 2 mai 2008

Quel obcd ce Gogole

Je jette de temps en temps un oeil aux pubs Google, c'est trop marrant ! J'ai juste pas le droit de cliquer dessus, c'est dans la charte mais parfois cela me démange. Je me demande par quelle alchimie les bots on pu estimer mes lecteurs messieurs demunis de "mas*tur*ba*teur" ; au*to*ma*ti*que qui plus-est ! Je ne savais même pas qu'un mot pareil existait. Normalement, si vous n'êtes pas manchots ni paralytiques, enfin, vous voyez ce que je veux dire...

Je m'excuse donc auprès de mes lecteurs pour ce manque de tenue totalement indépendant de mon humble volonté.

Ah, quand le waibe nous dépasse.

jeudi 1 mai 2008

Anonyme

Moi pas comprendre.

Lutter contre l'église de scientologie, pourquoi-pas. Mais alors pourquoi ne pas lutter contre la somme de mécanismes similaires.

Je me répète sûrement. L'Humain n'aime que deux choses, la lutte et le pouvoir. Pour moi c'est gâcher, à l'échelle de l'univers, le peu de temps conscient à passer sur le paradis que pourrait se révéler cette terre.

L'Humain a un vrai problème de fond et certains savent l'exploiter mieux que d'autres. Tout acte d'autorité dit nécessaire ouvre des brèches où n'importe-qui peut s'engouffrer pour faire n'importe-quoi.

Soyons prudents !

mercredi 30 avril 2008

Quel intérêt et pour qui de privatiser

Je puis l'affirmer maintenant, le démantèlement de certains services publics devient un cauchemar pour les usagers. Privatiser est une infamie dont les seules victimes, jusque-là usagers, deviennent par force clients. Si je tenais ces milliers d'abrutis qui achètent de L'EDF, je diviserais par dix leur taux d'intérêt.

Bref, avant que le summum de la bêtise économique s'en mêle, quand tu voulais changer de tarif, de type d'alimentation ou simplement ton adresse, tu allais au bureau EDF-GDF le plus proche et hop, en moins de deux, tu étais servi. Au pire, s'il devait y avoir intervention sur site, un type en bleu se pointait chez toi dans la journée ou le lendemain et bricolait quelques fils pour te satisfaire sans le moindre coût. Aujourd'hui, ben, faut téléphoner, se taper Amadeus pendant trois plombes, et enfin essayer de se faire comprendre de gens qui confondent compteur électrique et compteur kilométrique ou croient que le courant alternatif circule dans des tuyaux en colimaçon pour aller plus vite ; et on paye pour ça vous savez.

J'avais déjà parlé je ne sais plus où de ma mésaventure téléphonique avec ÉTC (Électricité Tout Court). Après presque une heure de discussion au tarif local pour faire permuter des adresses sur quatre factures élec+gaz, ils n'ont jamais réussi à foutre tout dans l'ordre. La deuxième fois où j'ai dû faire des changements, pas question de me re-servir de la hot-line, marre de me faire entendre dire : "gnagnagna on m'a changé le logiciel... Y veut pas, j'ai fait mais y veut pas.... Ah, ça y est!!!! " , et me rendre compte à réception des factures que seulement la moitié des modifications ont été prises en compte. J'ai donc effectué une régression maternelle moins et me suis photocopié toutes les factures puis ai fait dessus de jolis encadrés stabylotés, un parcours fléché des plus clairs avec tout ce qu'il y avait à remplacer, conserver, etc... J'ai tout fourré dans une enveloppe avec un joli recommandé à quatre euros et des brouettes pour me rendre compte pas plus tard que la semaine dernière, en me rendant au bureau pour prendre des renseignements sur une modification de ligne éventuelle, d'une erreur persistante dans les adresses de livraison. À ce point, c'est plus la peine d'insister parce-que d'abord cela finit par revenir cher, et il faut savoir arrêter de tirer sur les ambulances, même si l'asile est leur destination finale. La charmante dame qui m'a acueillie au bureau était des plus compétentes. Elle m'a même conseillé de ne pas parler technique comme je venais de la faire avec elle quand j'appellerai la not-line car si elle avait bien compris de quoi il en retournait, je n'arriverai à rien avec les autres mal greffés du cerveau.

Elle ne peut malheureusement rien pour moi car, si elle a toutes les compétences requises comme elle me l'a prouvé en moins de deux, sa boîte ne lui permet pas d'intervenir sur le plan technique, elle n'a même pas les codes informatiques pour modifier le moindre abonnement ou commander un technicien, bref, il faut téléphoner un point c'est tout !

Ben je ne téléphonerai pas, je n'écrirai pas, et je les emm... ! De tout façon, avant trois ans je serai équipé d'une source électrique autonome et pourrai enfin enlever cet ombilical ayant tant fait rêver au siècle dernier. La fée électricité, tu parles ! Comme j'avais un peu prévu le coup et que j'ai bien travaillé sur l'installation, faudra simplement que je fasse deux ou trois modifs, en gros soixante euros, sur mon tableau tout neuf pour pouvoir conserver mon ancien système.

Ah, j'vous jure, après on veut à tout prix que les français aient le moral, on est pas aidés... mrgreen

mardi 29 avril 2008

Pouce

Quand j'avais 8 ou 9 ans, j'ai découvert d'où venait l'expression mettre le doigt dans l'engrenage.

Depuis, au bas mot une lourde trentaine d'années, la Phalange de mon pouce droit comporte une étrange dépression, trace laissée par un engrenage de renvoi à 90° d'une meule à aiguiser.

Le plus drôle est la façon dont c'est arrivé. La meule en question est une sorte de camembert de roche abrasive de 40 cm de diamètre et 8 d'épaisseur monté sur un axe. La partie haute est dégagée alors que le bas est dans une sorte de carter dans lequel on met l'eau. Au bout de l'axe, il y a deux pignons à 45° qui renvoient la rotation vers un autre axe au bout duquel on trouve une manivelle. Ben quand on tourne la manivelle, la meule se met à tourner.

Mon but n'était pas là d'utiliser cet outil pour aiguiser quoi que ce soit mais le faire tourner pour voir ce que cela faisait. En tournant très vite, les dentures de la pignonerie semblaient disparaître et ressemblaient à deux cônes lisses. Lancée, quand on lâchait la manivelle, l'inertie du disque de pierre prenait le relais et la manivelle tournait toute seule pendant plusieurs secondes ; passionnant !

Là où j'ai merdé, c'est quand j'ai retiré le brin d'herbe que je mâchouillais depuis un moment de ma bouche pour le fourrer dans l'engrenage la meule lancée à pleine vitesse. J'ai rien vu, c'est allé trop vite, mais j'ai senti. Le brin d'herbe a été entraîné dans l'engrenage et avec la vitesse, ma main aussi.

Quand mon pouce est allé caler la pignonerie, tout s'est arrêté net dans un bruit de ferraille contrite. Après m'être dégagé, je n'arrivais pas à voir l'ampleur des dégâts à cause de la graisse sale dont les pignons étaient recouverts et quand le sang s'est mis à pisser, je ne voyais plus ni doigt ni graisse ni ongle, ni main d'ailleurs. Mon ongle s'est barré au bout d'à-peine deux jours, il ne tenait plus à rien le pauvre vieux.

Mettre le doigt dans l'engrenage, ou-bien fus-je ce jour là baptisé grain de sable... mrgreen

lundi 28 avril 2008

arte arte arte

Mais que serait le PAF sans arte ?


Cette charmante dame, Anne-Sophie Mutter, est violoniste.

Bon, ça va, et sans la photo, vous l'auriez su ?! mrgreen

dimanche 27 avril 2008

Noilicament

Pour votre santé,



faites comme moi, mangez des noix ! razz