samedi 12 avril 2008

Lérourébou

Désolé mais trop alcoolisé pour paraphraser ; m'en vais songer.

vendredi 11 avril 2008

Machine à friser les queues

J'avoue n'avoir rien vu venir. J'étais au plus profond de l'ultime trou, je tire sur la crosse tout en lâchant la gâchette et en quelques tours allant à leur perte me voilà avec un perforateur-burineur de 20 kg en travers de la gueule, suspendu à ma queue de cheval passée devant pour l'occasion.

Le premier qui rigole, je lui fais un indéfrisable express hein! Et puis c'est moi qui me marrais tout seul tant je me sentais con. Le premier truc qui m'est venu à l'esprit c'est pourvu que je ne sois pas obligé de couper mes cheveux pour me libérer.

J'ai bien mis cinq minutes pour démêler, sans rien y voir car tout avait gravi mon cuir chevelu pour aller se bloquer au sommet de mon crâne. Je ne ressentais aucune douleur, seulement la chaleur du bloc pneumatique contre mon front. Cette saleté de machine n'étant pas débrayable, il est impossible de manoeuvrer le mandrin manuellement, il a donc fallu que je fasse tourner toute la machine sur elle-même, en prenant garde de ne pas actionner la gâchette au risque de me retrouver scalpé pour de bon.

Après étude, j'ai compris ce qui s'était passé. Quand j'utilise des machines, j'ai l'habitude de boutonner mes manches de chemise, en mettre les pans dans mon pantalon, et rattacher mes cheveux puis les loger dans mon col afin que rien ne soit une tentation pour quelque élément tournant. Sur ce coup, j'ai oublié que j'avais une écharpe, avec des franges en plus. Je tiens toujours les électroportatifs à bout de bras sauf que là, j'étais en équilibre instable dans une cage d'escalier et le recul était limité. j'ai d'ailleurs ressenti un obstacle dans mon dos quand j'ai retiré la mèche du mur, ce qui m'a obligé à ramener la machine vers moi. La réaction en chaîne qui s'en est suivie reste surprenante.

Une frange de mon écharpe en synthétique s'est collée à l'extrémité de la mèche en carbure de tungstène brûlante en rotation, ce qui a tortillé une bonne partie de l'écharpe qui a, à son tour, entraîné ma queue de cheval. Quand tout a été roulé ensemble comme un torchon qu'on essore, le cordage de cheveux et tissu mêlés s'est enroulé autour de la mèche puis du mandrin pour finir copieusement tassé sur ma tête. Ça a dû aller drôlement vite parce-que la machine n'était plus alimentée et seule l'inertie mécanique la faisait tourner.

Ce traitement de choc n'a agi que sur mes cheveux, au contact de ces éléments chauds, et tassés comme ils étaient autour, ils ont maintenant tendance à se rouler en hélice tout seuls.

P.S. J'inaugure la rubrique BOULETTE avec cette mésaventure, j'en ai plein en magasin, c'est pas que je sois casse-cou mais plus je prends de précautions, plus ça merdoye. Vous pourrez déjà en trouver quelques-unes dans De-MémoirE sur PagailleuX-One, vous verrez que j'ai commencé très jeune les exercices de style.

jeudi 10 avril 2008

Mais que fait la papauté

Dans les années 80, JP II s'était largement exprimé en faveur des droits de l'Homme. En arrivant B XVI avait dit vouloir continuer l'action de son prédécesseur. Alors que nous sommes en pleine déconfiture olympique pour ces raisons, pas un communiqué céleste ; étrange.

mercredi 9 avril 2008

Freedom (2)

Freedom (3)
Freedom (1)


Ces nouvelles bases nous font découvrir comment la Liberté ne coule pas de source, elle n'est pas donnée à chacun à la naissance mais dépend indubitablement des voies laissées ouvertes par les effets environnementaux et alors, au fil du temps, en découlera le propre sens que l'on pourra donner à sa vie. On ne trouve pas de modèle idéal, le mouvement libertaire a montré ses limites, l'éducation catholique n'a visiblement pas fait mieux. Nous sommes maintenant majoritairement dans une sorte d'entre-deux assez satisfaisant grâce aux reconnaissances et découvertes du siècle dernier, satisfaisant dans le sens où peu sont enfermés dans un mode de pensée, ceci offrant à chacun non-seulement la possibilité de choisir mais de vivre sa liberté.

Sommes-nous pour autant condamnés à entendre Liberté seulement en droit ou dans l'expression d'artistes, auteurs, journalistes et "castes" diverses ? Il y aurait donc des libertés de milieux, ou ceux-ci n'auraient-ils pas plutôt abusé le terme pour engraisser leur désir de pouvoir car persuadés d'avoir découvert l'universalité ; serions nous entrés dans l'ère de la liberté contrainte par tiers ? Si l'on regarde, quantifie et qualifie, les contraintes à assumer dans la vie de tous les jours pour être libre et indépendant, on se demande quel bilan l'on pourra tirer au bout d'une vie raisonnablement longue d'Homme dit Libre.

Nous avons gagné quelque-chose d'important, mais qu'avons nous bien pu perdre pour devoir supporter toute cette agressivité ?

À Suivre...

lundi 7 avril 2008

Dératonnisation

Ultrasons anti-zonards !?

Nous vivons dans un monde de malades. Croyez-moi si vous voulez, ceux-là ne sont ni dans les asiles ni dans les cages d'escaliers.

Et-puis pourquoi ne pas fabriquer des cages d'escalier avec haull spacieux et chauffé, 25 m² au sol une broutille dans une zup, 30m de haut, un digicode maintenu en état puisqu'il ne sera là que pour être forcé, etc, toutes les villes sont atteintes de constructite en ce moment... Et là, ils auront une vrai souricière.

On est loin du débat sur les OGM hein ?

À jour

Tout va bien. D'ici une semaine les travaux de réfection de ma maison une, on dira une parce-que c'est la plus âgée, seront terminés. Plus qu'un bon coup de peinture, monter cette saleté d'antenne sur le toit puis un grand nettoyage et je pourrai enfin refermer la porte en me disant : Ouf , c'est fini!!!

La terre de mon potager (maison deux) est préparée, le récupérateur d'eaux pluviales (1000 litres) à proximité du potager est en place ainsi que le système de relevage permettant de le remplir (le réservoir principal de 1500 litres se trouve à 5 m en contrebas).

dimanche 6 avril 2008

Plusieurs flemmes

La paresse est un don des cieux courageux à nous rejoindre.

À méditer, moi j'ai une flemme du diable !